Selected quad for the lemma: england_n

Word A	Word B	Word C	Word D	Occurrence	Frequency Band	MI	MI Band	Prominent
england_n	brother_n	king_n	scotland_n	2,956	5	8.5488	4	false

Text snippets containing the quad

ID	Title	Author	Corrected Date of Publication (TCP Date of Publication)	STC	Words	Pages
A78472	Certain letters, evidencing the Kings stedfastness in the Protestant religion: sent from the Princess of Turenne, and the ministers of Charenton, to some persons of quality in London.	Turenne, Anne de La Tour d'Auvergne, Vicomtesse de.; Gaches, Raymond, d. 1668.; Daillé, Jean, 1594-1670.; Drelincourt, Charles, 1595-1669.	1660 (1660)	Wing C1702; Thomason E1079_5; ESTC R16902	21,298	87

que je me pouvois donner l'hōneur de le voir sans que cela peut être tiré à consequence je m'aquittay d'autant plus volōtiers de ce devoir que je s●ccedil eus que non seulement il l'auroit agreable mais qu'il le desiroit le ne vous s●ccedil aurois exprimer combien je sus satisfait de ce jeune Prince Car outre la facon obligeante de laquelle il me receut il me donna divers témoignages de sa pieté de son zele Il me souvient qu'il me dit entr'autres choses que le feu Roy son Pere peu avant sa mort luy avoit recommandê ces trois choses De ne changer iamais de Religion d'obeïr a son Frere ainé qui seroit son Roy comme il eust fait aluy même si Dieu l'eust conservé au Mondé d'obeïr a la Reyne sa Mere en toutes choses excepté en ce qui regarde la Religion A quoyil ajoutoit qu'en perseverant en la Religion il s'aquitoit de son devoir envers Dieu conservoit le repos de sa conscience mais qu'avec cela il obeissoit aux dernieres volontés du feu Royson Pere executoit les ordres du Roy son Frere qui le rapelloit pres de sa personne pour le tirer de la tentation Ce discours qu'il fit de fort bonne grace me confirma dans la creance que j'avois de la Religion du Roy defunt me fit voir ce que je devois croire charitablement de celle du Roy son Fitz. Mais outre cela il a en sa Maison entre ses domestiques des gentils-hommes de nôtre Religion de mes anciens amis qui m'ont assuré a diverses fois de la pieté de ce Prince de sa fermeté en la profession qu'il fait Il est vray qu'il y a des Anglois qui sans y penser luy ont fait grand tort Car sur de faux prejugez ils se sont abstenus de nôtre communion E par là ils ont fait naitre des soup●ccedil ons comme si leur Roy toute sa Cour avoyent leur inclination au Papisme Mais les plus sages n'en ont pas vsé de la sorte Car sachant que la creance de nôtre Eglise celle de l'Eglise Anglicane est une même creance il's n'ont fait nulle difficulté de se trouver en nos Assemblées Et même le premier Chapelain du Roy de la grand ' Bretagne nomme le Docteur Cosin y a souvent assisté avec beacoup de devotion Pour reuenir a mon discours Dieu met aujourduy entre les mains de Messieurs vos Presbyteriens qui ont la souveraine direction l'honneur la reputation de nos Eglises Car si sans aucune intervention des Puissances étrangeres ils rappellent ce Prince le font asseoir sur son trône ils acquierent pour eux pour leur posterité une gloire immortelle Et ils ferment â jamais la bouche a ceux qui nous accusent faussement d'estre ennemis de la Royauté font voir que cest a tort que l'on nous a imputé cette maxime Point d'Euesque point de Roy. Pour ce qui est de ma personne Je vous confesse que comme j'ay pleuré amérement la mort sanglante du feu Roy aussy ce me sera une joye extréme de voir le rétablissement du Roy son Fils pourveu que cela se puisse faire avec des conditions qui n'éffacent point le lustre l'eclat de la Majesté Royale qui soyent a la glorie de Dieu au bien au repos des trois Royaumes C'est dequoy je prie Dieu de bon coeur pour vous M R qu'ilvous conserve vous benisse de ses plus saintes benedictions J'ay creu que vous ne trouveries pas mauvais que je vous ouvre mon coeur et que je vous découvre mes pensées sur un sujet de si grande importance puis que je suis MONSIEUR Vôtre tres humble frere tres-affectionné Serviteur DRELINCOURT Pasteur d'Eglise de PARIS A Monsieur Monsieur Stoupe f. M. D. S. E. A Londres PARIS April the 3 d. 1660. Sr My honoured Brother Nothing hath happened more strange in our daies then the revolutions of England Scotland and Ireland After the tragicall death of the late King hopes were given that a Common-wealth might be established that should become the wonder and admiration of the whole world But the severall changes that have happened since from time to time and the confusions that are to be feared cause many to believe that God will reduce affaires to their first state and set the three Crownes united upon the head of one Monarch That which in this doth most rejoyce and comfort us is that it seems for the doing of this glorious work God will use the Service of those with whom we have more strict Communion in doctrine and discipline For we understand that such as are called Presbiterians are now possessed of the greatest Power and sit at the Helme of State That illustrious Assembly which would have preserved to their King his life and his Royaltie was without doubt very farre from designing to rob his Children of that right which is conveyed to them by a continued succession in their Royall Familie for many ages A report is here that the thing from being recalled to the Inheritance of his Fathers is the Opinion conceived by some of his being turned to the Roman Catholick Profession and the fear that in time he might ruine the Religion now flourishing in those three Kingdoms But Sir you know that we have ever detested the doctrine of Popes and their Instruments who teach that all Princes called by them Hereticks are incapable of succession of Crowns and if in possession to be turned out And more then this I see not any ground there is for calling this Prince a Roman Catholick he making no profession of it but on the contrary hath rejected all the advantages and all the aides offered to him upon that condition Charity is not jealous and if it forbid us to suspect on slight grounds private persons how can it approve jealousies upon Persons so sacred Experience hath taught us how little reason hath in the end appeared for the like and even the greatest apprehensions of that kinde our History doth furnish us with a convincing example The League never pretended other cause for their rebellion against King Henry the Third but for his being an Heretick and a maintamer of Hereticks And thence was inferred that he was no waies affected to the Roman and a Favourer of our Religion In the mean